jeudi 14 février 2008

Aimons, Aimons, Aimons...



Amoureux de tous les pays,
unissez-vous
Pourquoi un jour, un jour seulement dédié à l’Amour ? L’Amour, c’est tous les jours qu’il m’ébranle, me meut, m’entraine. Je suis un baroudeur de l’Amour.
L’Amour pour la femme, être sublime que nous côtoyons sans jamais nous lasser, dans une douce complémentarité. Eros et Cupidon, démenez-vous pour nous causer des tressaillements et des élans constants, gages de vigueur et d’éternelle jeunesse.
L’Amour de l’autre, de l’étranger, du déshérité, de celui qui m’enrichit de ses différences.
L’Amour pour le Beau et pour la reconnaissance des joliesses d’une nature qu’il nous faut préserver pour la léguer dignement à notre descendance.
L’Amour pour le service public, qui justifie le noble engagement citoyen.

Amoureux de Bordeaux, faisons vivre la ville

Et puis il y l’amour pour une ville, sa ville.
Je suis né à Bordeaux il y a quelques années. Plusieurs générations de ma famille s’y sont succédées, accompagnant la Garonne de leurs élans de vie.
La ville est belle, très belle. Les ravalements l’ont rajeunie, les rails du tram défilent nonchalamment dans les rues… Et puis… Et puis je cherche la vie par-delà l’aridité des places. Je cherche l’ambition culturelle digne de son prestige et de ses acteurs, prêts à s’exprimer. Je cherche une vitalité économique qui relaie les nombreuses fermetures des commerces et la prolifération d’un secteur tertiaire qui vampirise le centre ville.
Et puis… il faut créer des espaces de convivialité, des espaces verts et colorés, des lieux de dialogue et de lien entre les générations. Pour que les « Amoureux se bécotent sur les bancs publics, bancs publics… ».
Gaulliste de progrès sans étiquette partisane, je suis aux côtés d’Alain Rousset pour développer notre cité dans l’innovation et l’ambition.
Alors, elle trouvera naturellement sa place dans le concert des villes prestigieuses.
Amoureux de Bordeaux, aidez-nous.
Parlez et démultipliez la parole au service d’une vision d’avenir.
Aimons Bordeaux ensemble.
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En ce jour jour du 14 février 2008, je ne pouvais occulter la Saint Valentin.
Patron des amoureux, il est notre maître à tous.
Alors, j'ai taquiné voluptueusement la muse .
En voici le modeste résultat .
Le Fruit du Paradis
Le soleil veloute ton corps d’une subtile aura
Tes yeux envoûtent mon âme, captive sur ta toile
De l’aube à la nuitée tu scintilles d’étoiles
Et je sais que la nuit tu brilleras pour moi

Laisse-moi savourer ton regard lumineux
Permets-moi de siroter ta peau et ses secrets
Autorise les audaces, les aventures osées
Pour déguster la chair de ton fruit délicieux

Libérés du serpent, nous sommes au Paradis
L’amour réconcilie l’homme et la femme unis
Nos corps entrelacés, nous ne formons plus qu’un
Et nos désirs conjoints nous mènent vers demain

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