dimanche 8 mars 2009

Des secondes d'éternité

Voir MARRAKECH

et... VIVRE

Il est des endroits sur cette terre dont le seul contact provoque une indicible sensation de bien-être. Des oasis qui doivent côtoyer l'Eden et tous les Saints du Paradis pour nous prodiguer un avant-goût du Nirvana, et nous rappeler que le Bonheur existe bel et bien içi bas. Marrakech appartient à ce cénacle très fermé des villes élues.

Les ressources et les mystères qui en émanent imprégnent notre corps, notre esprit, et sans doute notre âme, pour nous régénérer, toiletter les tréfonds de nos intérieurs afin de nous apporter une fraîcheur nouvelle.

Comme si l'heureuse conjonction des éléments naturels imprégnaient la terre d'ondes puissantes aux pouvoirs surnaturels. Y poser le pied fait trésaillir notre subconscient, produit une foultitude d'électrochocs dans notre être.

Alors, les scories d'un lancinant quotidien sont aspirées vers le néant, les maux créés par nos humaines découvenues disparaissent pour laisser la place à une infinie impression de renouveau. Une nouvelle virginité en quelque sorte, guérissant des douleurs infligées par des quotidiens souvent déconcertants.

Je n'ai toujours pas compris à ce jour qu'une cure ne s'impose pas à chacun de nous pour nous guérir de la sinistrose, et qu'elle ne soit pas prise en charge dans son intégralité par la Sécurité sociale. Ce serait là source d'infinis bienfaits aux effets durables.

Car rencontrer Marrakech opère en nous un grand nettoyage de Printemps. Finies les pensées moroses, oubliés les fantômes du passé, applaties les vilenies et les trahisons... Vive la Vie, l'avenir, et reprenons la plume pour écrire sur le parchemin que déroule sous nos yeux notre futur. Soyons au rendez-vous.

Nos 5 sens sont sollicités, captant le maximum d'une ville aux grandes potentialités.

La vue ? Les couleurs riches et bigarrées s'impriment sur la grisaille de notre récent passé.

L'Ouie ? Les mélopées qui montent de la place Djemaa el Fna enrichissent notre inconscient de farandoles de vies.

L'Odorat ? Les épices aux subtiles frangrances, les huiles aux senteurs suaves, la volatilité de la fleur d'oranger exacerbent nos artères sensorielles et nous plongent dans une fluidité magique.

Le Goût ? Du Tagine de poulet au couscous Berbère, leurs effluves bercent nos narines avec une infinie volupté.

Et le Toucher... Les soieries multicolores résonnent sous nos doigts composant une ennivrante mélodie sur les touches de l'arc-en ciel.

La Cité impériale vit par ses hommes, par les forces créatrices qui se dégagent d'un sol à la riche histoire, par les bienfaits qu'elle produit et qui mettent en éveil permanent nos 5 sens. Là, nous existons pleinement, et sommes en communion totale avec notre environnement.

Alors entamons un dialogue sans fin avec l'impalpable, percevons chaque parcelle vitale qui nous est adressé, enrichissons-nous de la sève qui émane de cettte ville sortie des sables il y a plus de 9 siècles, en 1070, lorsqu'une tribu berbère y planta ses premières tentes.

Depuis, que de destinées et coups du sort vécut la Cité, que de dynasties s'y succédèrent, que de trahisons s'y ourdirent, et que de sang versé coula dans le désert pour prétendre présider aux destinées d'une ville qui fut la capitale du pays jusqu'à lui donner son nom, le Maroc.

Cette ville au passé prestigieux exerca son rayonnement en tant que centre de culture dans lequel se retrouvaient les savants et philosophes du monde entier dès la fin du XIIème siècle, puis connut le déclin pour mieux renaître et dégager une aura mystérieuse qui l'habite encore à ce jour.

Son nom, seulement son nom, « Marrakech » ne nous laisse pas indifférent. Ces 3 syllabes résonnent à nos oreilles avec une majestueuse musicalité. « Marroukech », cela signie « va et passe vite », comme ont voulu la baptiser les berbères sahariens, ses fondateurs qui voulaient éviter que les caravanes et les voyageurs ne viennent les importuner.

Or, c'est tout le contraire que nous inspire cette cité : restons y et apprécions le plaisir qu'elle dégage et qui pénétre tout notre être dès que nous posons le pied sur la piste de l'aéroport.

Dès le premier regard à travers le hublot, j'éprouve chaque fois la même sensation. Il y a quelque chose de magique, d'irréel dans cette proximité de deux heures de vol séparant, ou réunissant ma ville natale, Bordeaux, à ma ville d'adoption, Marrakech.

La ville à la beauté contenue, aux attitudes sobres et distinguées, reliée comme un heureux continuum à cette cité d'un charme envoûtant, dans laquelle prévalent la faconde rieuse et la joie de vivre.

La capitale de l'Aquitaine au somptueux centre ville strictement dessiné... et la « Venise du désert » qui nous entraîne dans une constante épopée rivalisant de couleurs et de sons, et qui si bien vous parler de vie et d'amitié. Deux villes, deux tentations.

Elles affichent avec audace les formes tentantes d'une séduction affirmée et leur enivrante beauté qui nous attirent irrésistiblement. La femme du monde et la vamp!

Le soleil, qui imprégne le Maroc me renvoie de manière éblouissante à une symphonie de teintes allant du blond au rouge, du blafard à l'éclat le plus vif. Je suis happé dans une douce intimité par le sortilège de ces coloris qui se déclinent en une infinité de nuances faisnt chanter la terre tout en révélant à qui saura le discerner, le sens du Beau.
L'harmonie semble avoir bien avoir guidé la main du créateur.

Le spectre entier des couleurs de vie, la palette foisonnante d'un arc-enciel régènérant entrent dans notre être, l'irradiant, lui redonnant une vigueur nouvelle, le libérant de ses sortilèges profanes. Un doux exorcisme, un cérémonial purificateur en quelque sorte.
Içi, les 4 éléments semblent s'être donnés rendez-vous sans se contrarier, conjuguant leurs forces constructrices et la puissance de leur magnificence.
Un mariage heureux dont chacun de nous est l'heureux légataire. Car dans cette oasis du Sud, la Terre, l'Air, l'Eau et le Feu font régner un esprit de concorde, chacun trouvant son juste point d'équilibre dans l'existence de l'autre, générant un ordre naturel de calme et de paix. Là, tout n'est que calme et volupté.

Au sortir de l'aéroport qui affiche une rutilence toute neuve, s'étendent de vastes avenues émaillées de constructions neuves, de résidences de standing et de villas cossues. Car la ville connaît un développement immobilier sans précédent qui a transformé la périphérie de Marrakech, au-delà des remparts, tout en respectant le centre historique.

Le quartier de l'Hivernage est le symbôle de cette frénésie de constructions. Hier avenue de France, un Boulevard s'étend aujourd'hui à perte de vue, baptisé Avenue Mohamed VI. Le désert et les palmiers ont cédé la place à une profonde transversale déroulant chaque jour son tapis de bitume, ses bordures de trottoirs et ses panneaux de signalisation.
Simultanément à cette genèse urbaine qui pourrait faire pâlir le créateur en personne, les réverbères ont fleuris en espaces réguliers. Et, au loin, majestueux, l'Atlas culmine et regarde les hommes vaquer à leurs quotidiens.

Rayonnant avec bienveillance sur la cité, un autre monument, à vocation spirituelle, veille sur la cité, la Koutoubia. De tous les côtés de la ville, on l'aperçoit, drapé dans la beauté de ses formes, dans la somptuosité de son éclat naturel.

Edifié au XIIème siècle, il est situé au coeur de la vie des habitants pour accompagner et illuminer leurs chemins. Ses bâtisseurs ont voulu établir un rapport d'harmonie entre la Koutoubia et les hommes. Car le rapport de base entre la largeur et la hauteur est de 1 sur 5, signe d'union, puisqu'exactement positionné entre les neufs premiers chiffres de notre arithmétique. Chiffre d'équilibre par excellence, il illustre également les 5 parties du corps, les 5 sens et confond sa silhouette dans une étoile, l'inaccessible étoile.

Au pied de ce minaret s'étend une vaste esplanade sur laquelle les touristes côtoient les marrakchis qui promènent leur joie de vivre, heureusement contagieuse, sans aucune retenue.
Puis vient la grande allée bordée de palmiers et ... de calèches qui étendent leur coulée verte jusque vers la place Jemaa el Fna.

La ville résonne agréablement encore du bruit désuet des sabots sur les pavés et autres revêtements, s'inscrivant dans une tradition remontant à 1912.
Il convenait alors de transporter les marchandises dans les souks et de véhiculer les fonctionnaires français. Aujourd'hui, les calèches proposent des services ouverts à la négociations pour effectuer une escapade, faire le tour des remparts. Conseillé pour le charme de la promenade.

C'est alors qu'une heureuse cacophonie parvient à nos oreilles, qu'un rythme endiablé vient solliciter tout notre être. Les sons s'accentuent avec la progression de nos pas, nous attirent irresistiblement vers leur source. Nous sommes comme vampirisés, attirés par un sortilège dont nous serons tous les consentantes victimes.

Nous cotoyons alors un véritable mythe, la place Jemaa el Fna, classée au patrimoine de l'humanité par l'UNESCO, car porteuse d'une tradition, siège de la mémoire, riche de tradition orale et de tout ce qu'elle nous apprend de l'histoire des hommes.

Elle est le but absolu de tout périple, ville dans la ville, lieu d'expressions, de rencontres multiculturelles et ethniques. Elle est la place des libertés, étendant ses 15 000 m2 pour proposer une infinie possibilité d'animations. Sachons capter et nous enrichir de tout ce que ses vivants acteurs nous envoient de grand et de fort, enraciné dans des cultures ancestrales.
C'est un véritable théâtre à ciel ouvert qui nous propose d'être directement engagés dans les tableaux foisonnants qu'il produit.
La principale richesse, inégalable, est celle des hommes qui nous transmettent, qui sourient, qui virevoltent autour de nous... qui sont porteurs de Vie.
Une liesse permanente nous entraîne dans une farandole de joies. Laissons-nous porter.

Charmeurs de serpents, dresseurs de singes, acrobates, conteurs, écrivains publics, arracheurs de dents, diseuses de bonne aventure, porteurs d'eau, danseurs, combattants de boxe, vendeurs de jus d'oranges, jeux d'adresse, hennayats...

Vous avez dit « hennayats »? Qu'est-ce à dire? Je vais vous l'expliquer. Il s'agit de jeunes femmes qui proposent de parer mains et pieds de dessins artistiques à partir d'une mouture séchée tirée du Henné, plante millénaire et sacrée que le prophète choisit comme symbole de paix. De ses feuilles odorantes sont tirés des parfums, des huiles et composition permettant l'ornementation de la peau.

Et n'oublions pas les « Gnaouas »...

Les Gnouas, représentants d'une ancienne confrérie volent littéralement dans tous les recoins de la place. D'une agilité surprenante, ils se consacrent à la danse et à la musique tout en prodiguant un esprit facétieux qui jaillit en gerbes de la pluralité des couleurs de leurs vives djellabas.


Cette place vit jour et nuit. Le soir elle se transforme en gigantesque restaurant à ciel ouvert.

Le spectacle continue alors bercé par les milliers de loupiotes qui éclairent les tables autour desquelles se pressent les convives que l'on cherche dans une cocasse concurrence.

Le touriste est tiraillé de stand en stand dans une joyuse bousculande, les rires accompagnent les hésitations, le couscous est égrené sous les yeux pour témoigner de sa qualité. Les poulets, sagement alignés, attendent d'être confrontés à leur inéluctable destin, les légumes sont prêts à créer d'homériques touristas aux convives imprudents, les brochettes, crevettes et calamars manifestent leur impatience de finir dans les assiettes. Dîner sur cette place est un plaisir de la vue, de l'ouïe, de l'odorat. C'est bon-enfant et cela constitue un efficace remède à la sinistrose.


Tout autour, des stands proposent des ribambelles d'escargots qui affichent leur onctuosité en découlinant des louches que les maîtres de cérémonie activent avec des gestes amples et cérémonieux.


Il y aurait tant des choses à dire, tant de sentiments à exprimer. Je laisse chacun se forger sa propre sensation, car chaque vécu est unique.

Chaque expérience sera un moment priovilégié qu'aura le visiteur avec cette place qui donne tant et tant. Il appartient seulement d'être réceptif et de se laisser bercer par la magie qui s'en dégage.
Cette magie nous est abondament proposée dans la foultitude de secondes d'éternité que nous saurons arracher au temps qui passe.

Qualité d'un regard, profondeur d'un sourire féminin, gouaille d'enfants, gentillesse des marrakchis, humour des artisans qui nous proposent des babouches climatisées ou de nous consentir un « crédit berbère » : « Tu paies la moitié tout de suite et l'autre moitié maintenant ».
Enfonçons nous sans riques dans les innombrables ruelles de la Médina. Nous ne pouvons nous y perdre, mais seulement nous y égarer. Car il y aura toujours quelqu'un pour nous ramener vers la place Jemaa el Fna.


Les souks regorgent de richesses et sont le témoignage de toute la qualité de l'artisanat local : travail du bois, soieries, cuirs, bracelets, bijoux, lampes, poignards, ferronneries d'art... Le tout s'acquiert dans d'interminables négociation dans lesquelles il faut se laisser entraîner de bonne grâce. C'est le rituel local.


Au fil de notre promenade dans la ville, aprés avoir dégusté couscous et patisseries, l'envie peut advenir de prendre quelque temps pour le repos.

Le repos du corps, mais également de l'esprit ? Les jardins Majorelle s'imposent alors.


Tous les écoliers se souviennent du bleu Majorelle que nos maîtresses d'école nous demandaient d'apporter dans nos palettes de couleurs. Un bleu puissant et fort qui inonde les murs de l'atelier du peintre (1886-1962) situé au coeur d'un jardin qui nous fait dialoguer avec l'éternité.

Il faut se promener dans les allées de ciment rouge, voir la vivacité des tons qui emanent des jarres jaunes bleues ou vertes, se laisser aller dans l'allée de bambous, dans un univers irrigué par des plantes venues de tous les continents.


Sâchons apprécier ce grand moment. Laissons nous bercer par les reflets irréels, par la puissance spirituelle qui fuse de ce ce lieu.
Fermons les yeux.


Il existe sur terre un endroit hors du temps imposé et de l'espace contingenté.


Les fenêtres d'éternité que nous avons ouvertes à Marrakech nous ouvrent des horizons sans fin.
Vive la VIE


Bonne fête

8 mars...


8 mars, Journée de la femme.
8 mars... seulement ?
C'est chaque jour qui passe que nous devons honorer la beauté de celle qui est la complémentarité de l'Homme. Parce que nous ne faisons qu'un avec l'être cher dans une alchimie vivante et magique, donnons des accents d'éternité à l'Amour que nous cherchons.
Il est permis à chacun d'espérer...
Alors, Espérons, Espérons...



EVEIL
Je dors sur son sourire
Qui berce mon coeur d'enfant
Je crois l'entendre dire
Qu'il brillera longtemps


Il anime mes rèves
Des clichés savoureux
D'un Amour qui se lève
Pour tutoyer les cieux


Chimères de l'irréel
Donnez corps à la vie,
Créez de l'éternel
Pour deux êtres unis.

Traduction pour nos amis grecs, par nos amis grecs...

8 Μαρτίου... Ημέρα της γυναίκας.
8 Μαρτίου μόνο αυτή την ημέρα;
Γιατί η Ημέρα της Γυναίκας είναι η Κάθε Μέρα.
Γιατί καθημερινά πρέπει να τιμούμε την ομορφιά της
που είναι αναπόσπαστο στοιχείο αυτού που λέμε Άνθρωπος.
Και μέσ' στην αλχημεία της ζωής ας δώσουμε την πρέπουσα
σημασία στη Αγάπη και την αιωνιότητά της
για να ελπίζουμε, ελπίζουμε, ελπίζουμε...

ΤΑ ΔΥΟ ΕΝΑ ΚΑΙ TO ENA ΔΥΟ ΜΑΖΙ

Νιώθω ζεστό το πρόσωπό της
Να με νανουρίζει απαλά
Σαν να ακούω το μιλητό της
Να μου... φέγγει τη καρδιά

Ζωγραφίζει τα' όνειρά μου
Με νόστιμες πινελιές
Μιας Αγάπης που πλανιέται
Στους απέραντους ουρανούς

Ω Χίμαιρες της Ουτοπίας
Δώστε επί τέλους Αιώνιο Σώμα
στη Ζωή. Κάντε τα Δύο Ένα
Και το Ένα Δυό Μαζί

samedi 7 mars 2009

Passage Grec

ΤΟ ΠΕΡΑΣΜΑ


(Le Passage)


Un poème publié dans ce Blog ("Le Passage") a connu une déclinaison inattendue en ayant suscité l'intérêt de nos amis Grecs. Suivons Apollon avec sa flute et laissons nous bercer par les rythmes héllèniques :


ΤΟ ΠΕΡΑΣΜΑ

Ένα αστέρι πέφτει πέφτει
Πέστε μια ευχή
Πριν το οχτώ περάσει
Και εξαφανιστεί

"H χρονιά ας φύγει
Η Αγάπη ας μείνει
Εννιά σε περιμένω
Με Ειρήνη ας είσαι φορτωμένο"

Το οχτώ έγινε χτες
Είχε και μέρες ζοφερές
"Που να μην ξαναρθούνε ποτές"
Ελπίδες τώρα θρέφουμε πολλές

Οι αριθμοί πάνε κ' έρχονται
Με το τραίνο του χρόνου
Τα χρόνια περνάν
Και οι ψυχές τραγουδάν:

«Ουρανέ μου
Ελπίδα μου και Φως
Δως μου Ευτυχία
Χαρά και Σωτηρία»

Ας κοιτάξουμε ψηλά
Η ελπίδα μας χαμογελά
Και προς τα μας πετά
Ας την πάρουμε αγκαλιά

Η Ζωή θα θριαμβέψει
Το σκοτάδι θα θαφτεί
Και στη δίνη του θα πέσει
Το μίσος και θα χαθεί


http://dokimos.over-blog.com/article-26714118.html

Je reste dans l'attente de versions en latin, chinois,...

Merci pour votre contribution

Pour demain

7 mars...
J'avais coutume de fêter l'anniversaire d'un homme né ce jour là, Jacques CHABAN-DELMAS. Maire de Bordeaux, il fut également le porteur d'un vrai projet de société, "La Nouvelle Société".
Loin de vouloir, içi, diffuserdes relents de nostalgie, il me plaît à évoquer le souvenir d'un homme d'Etat qui transcenda les clivages entre la Droite et la Gauche pour "passer un contrat de confiance avec chaque Français". De fait, il fut cisaillé par les 2 camps politiques.
Et, au regard des questionnements actuels, je salue le respect qu'il eut pour la liberté de la presse en nommant à la tête des télévisions publiques un homme libre, Pierre DESGRAUPES, contre l'avis du Président alors en fonction. De fait, il fit régner dans les rédactions les parfums d'une précieuse liberté.
Le message reste entier : donner une vision historique et morale à la Politique. Faisons le vivre.